Les nouvelles vacances de Monsieur Cottet

Tournage Salewa dans les Dolomites, quatre questions à Arnaud Cottet, accompagnées de photos de Damiano Levati (Story Teller Labs).

Black Crows : Pourquoi les Dolomites ?

Arnaud : L’hiver 2018 était vraiment bon dans les Dolomites, ce qui a permis de pouvoir rider les classiques de la région de San Martino.

Damiano Levati/Storyteller-Labs
Arnaud Cotet steep skiing in San Martino di Castrozza.

Black Crows : Les images sont de grande qualité, qui est derrière la caméra ?

Arnaud : C’est une boîte de production Italienne, Story Teller Labs. Ils étaient mandatés par Salewa pour réaliser ce film. La marque en a profité pour créer une partie de son contenu marketing. Le tournage était vraiment intense, mais ça a super bien fonctionné. Damiano Levati et Matteo Vettorel de Story Teller Labs ont fait un beau travail avec le montage du film. C’était nouveau pour moi de ne pas être impliqué dans la réalisation ou la production du film. Juste rider c’est cool aussi !

Damiano Levati/Storyteller-Labs
Eric Girardini and Arnaud Cotet ski mountaineering in San Martino di Castrozza, Italy.

Black Crows : Des anecdotes de tournage, tout s’est bien passé ?

Arnaud : Le tournage s’est effectué en quelques jours. On n’avait pas une grande fenêtre météo et neige. Du coup, on a quand même filmé des jours de mauvais temps, ce qui rend certains plans vraiment uniques. Skier avec Eric Girardini, qui est guide là-bas, c’est vraiment un plaisir. Il connaît les moindres recoins de la Pala di San Martino. Pas beaucoup de questions à se poser. Ça aussi c’est agréable !

Damiano Levati/Storyteller-Labs
Arnaud Cotet steep skiing in San Martino di Castrozza, Italy.

Black Crows : Que sais-tu de Piero de Lazzer et Diego Dalla Rosa, les deux personnages qui sont interviewés dans le film ?

Arnaud : Oui ce sont deux alpinistes et skieurs de la région qui ont ouvert une grande partie des classiques. Il y a plein de couloirs emblématiques autour de la Pala de San Martino (Bureloni, Travignolo…). Les couloirs sont faciles d’accès et le dénivelé est souvent moins important que les gros couloirs qu’on a dans la région Valais – Chamonix. La roche et ces falaises propres aux Dolomites donnent un côté un peu mystique.

Damiano Levati/Storyteller-Labs

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