“Nous continuons notre noctambulisme hivernal dans cette ambiance très minérale et ce froid intense. On s’éclate à faire ça. Ce n’est pas simplement le fait de produire de l’image, c’est vraiment particulier de skier la nuit et de se retrouver seul et tranquille dans des endroits qu’on a déjà skié de jour. Si ces couloirs raides ne sont plus considérés comme extrêmes aujourd’hui, la partie extrême c’est à Thomas qu’on la doit. Il nous a filmés pleine pente en dérapant face à nous. Je suis très admiratif de cet performance.”
Bruno Compagnet.