Julien Regnier nous entraine à Zion, ancien mot hébreu signifiant sanctuaire. Celui de la faune et de la flore qui s’ébattent joyeusement dans ce lit de roche creusé par la rivière Virgin. Sur ces flancs, un conglomérat de grès, de calcaire, de gypse, de limon et de schiste s’emploie tout autant à rappeler que l’état virginal de ce lieu est relégué aux calanques grecques. N’en déplaise aux mormons.